Le 26 Novembre encore, nous avons vécu une expérience exceptionnelle ! Après avoir assisté à la représentation de Pour Autrui de Pauline Bureau, le 25 Novembre. Nous avons eu la chance de la rencontrer et de faire une visite avec elle des décors… c’était un moment court mais très privilégié. D’ailleurs, mon compte-rendu du spectacle Pour Autrui est également disponible sur Le Journal de Gaïa : https://gaiahc.wixsite.com/lejournaldegaia/post/t-p-a-théâtre-pour-autrui
Après avoir repris nos émotions, nous avons commencé notre séance de pratique habituelle. D’ailleurs, autre évènement à signaler, nous avons omis de faire le célèbre exercice de la douche.
A la place, nous avons tout de suite commencé par des exercices d’échauffement de la voix, dans le but de la faire sonner. Nous avons réalisé le bruit de la moto, de la mouche ou encore de la grenouille. Nous avons également fait un exercice où nous devions « parler dans le nez ». Ce dernier exercice ne m’a pas été surprenant ou inhabituel puisque c’est en fait un exercice que nous avons l’habitude de faire en cours de chant pour mieux placer la voix et ne pas se faire mal aux cordes vocales.
Ensuite, nous avons fait un exercice où nous devions nous mettre par deux, apprendre une même phrase par coeur et ensuite la dire en même temps en chuchotant, en parlant normalement, en criant et enfin en chantant. J’étais en duo avec Fantine pour faire cette exercice. Sans prétention, je trouve que nous avons plutôt bien réussi cette exercice. Nous étions bien synchronisées, c’était plutôt une réussite, je trouve.
Enfin, nous avons terminé la séance en révisant une nouvelle fois le monologue de Sirènes. Si, au niveau mémoire, c’était mieux que la dernière fois. Au niveau interprétation, c’était… moyen. J’étais trop dans la même intonation et la même expression, ce qui ne donnait pas une interprétation très juste et naturelle. A vrai dire, cette remarque ne m’étonne pas vraiment. Cela m’arrive souvent lors d’une présentation, d’un exposé ou lors
de ce genre d’exercice de paraître trop enjouée tout le temps, ce qui peut donner un résultat très… superficiel. Je pense que c’est dû au stress ou plutôt à la peur de ne pas en faire assez et donc, résultat : j’en fais beaucoup trop. Ce serait quelque chose à travailler pour la prochaine fois, l’intonation, la maîtrise des émotions, ce qui sera d’ailleurs très important pour l’interprétation de la pièce Le Fils de Florian Zeller que nous allons travailler après les vacances de Noël.
A bientôt pour de nouvelles aventures théâtrales !
Gaïa :)